Pêche à la mouche en mer… première partie

Bonjour à tous, il y a plus de dix ans déjà on pouvait lire dans la presse spécialisé des articles consacré uniquement sur la pêche à la mouche sur les côtes Bretonnes. Quand est-il aujourd’hui!

Avec un peu plus d’expérience, je peux dire que ces gars avaient une bonne longueur d’avance et avaient fait un peu le tour de la question. En relisant le soir ces écris, je me demande si c’était réellement vrai. Chaque fois qu’une revue parle de cette technique en France je l’achète, mais quelques chose ne colle pas !

Si le côté matériel fut largement décris est bien aborder, la pêche elle, me laisse un petit goût amer et je n’arrive pas à trouver le lien qui me rapproche à ce que je vis lorsque je suis au bord de l’eau.

C’est avec beaucoup de modestie que je décide de laisser quelques traces sur le net. Je vais essayer de donner mon avis et raconter quelques anecdotes, pour que chacun d’entre vous est le plus d’information. 

Ces reportages seront le fruit de nombreuses heures passer sur le golfe, j’essayerai d’être le plus juste possible.

Avril n’est pas le meilleurs mois pour commencer en raison d’une température de l’eau largement en dessous des 14 degrés mais il est bon d’avoir quelques journées de navigation pour prendre confiance, modifier deux trois trucs, essayer la nage des streamers, trouver ces repères, etc.

Si les postes en rivières sont parfois simple à comprendre au bout de quelques années, la pêche en réservoir elle est plus compliqué, car les poissons sont bien présent dans l’eau, mais il n’y a aucun repère visuel ni courant pour nous aider ! Multiplier par l’infinie ces hectares de flotte, en eau salée pour vous trouver au bord de la mer.

Rajouter une bonne dose de vent et de sel pour déstabiliser le moucheur.

L’aventure peut alors commencer, quel pied……..

Quelques allumers comme Franck Ripault, Mathieu Cosson, Régis Fournigault, Jean pierre Lagathu on réussi ce challenge au nord et au sud de la Bretagne mais ce ne sont pas les seuls. Si la pêche du mulet commence à percer en France, en partie grâce a des gars comme Christophe Lecoq, quand est t’il de la pêche du bar et des autres poissons de l’atlantique par chez nous. 

L’océan est immense et lancer un peu n’ importe où sa mouche peut vite se révéler lassant à la longue. Comment pêcher efficacement en mer à la mouche en France !

Voici une question intéressante que nous allons essayer de voire ensemble. 

Tout d’abord il faut savoir que ce n’est certainement pas la meilleure technique pour prendre le plus de poisson face aux techniques modernes,  nous sommes d’accord…  mais comme vous le savez, prendre un bar de 40 cm ou plus sur une canne à mouche restera longtemps un de vos meilleurs souvenirs de vos vacances.

Rechercher d’autre poisson qu’une truite avec un fouet procure une  joie immense. La mer est donc le terrain de jeu idéal pour assouvir sa passion dans cet état d’esprit.

 

On pourrait croire que l’océan est riche pour produire un écosystème mais c’est loin d’être le cas. 

Petit rappel vite fait sur les soies

La soie flottante, pour moi est réservée au pêche de surface, lorsque l’on prospecte des endroits tel les parcs à huîtres pour ne pas accrochés son imitation systématiquement, ou des pêches visuel par exemple des petits étangs qui sont remplis d’eau salée et subits l’influence des marrés. Nous retrouvons alors tout le plaisir d’une pêche à vue sur des poissons qui évoluent dans très peu d’eau. Autre utilisation intéressante, la pêche avec indicateur que je n’ais pas encore essayer mais ça ne devrait plus trop tarder. Pour pêcher le mulet c’est bien sur la soie à prendre, ainsi qu’une bonne dose de patience.

L’autre soir,  je me trouvais au bord du golfe et j’ai pris un malin plaisir à animer doucement une mouche monté en marabout avec des élastiques devant et derrière sans aucun lestage. L’avantage de ce modèle c’est le mouvement que produit la plume et le caoutchouc lors de la descende, mais aussi le côté visuel, dans moins d’un mètre d’eau, nous pouvons observer la réaction des poissons face a cette drôle d’imitation. Stripper à toute vitesse en surface, la mouche provoque des hontes dans l’eau et semble attirer de loin. 

La soie intermédiaire me semble la plus intéressante lorsque les poissons chassent au petit matin sur les bancs d’éperlans le long du rivage. Armé d’un petit streamer h6 en fibres brillantes vous avez de réelles chances de capturer vos premiers lieux et bars. Essayer de ne pas lancer sur les chasses pour ne pas effrayer les prédateurs mais plus sur le côtés, ainsi vous éviter que le bancs se déplace hors de porté. Un truc pas mal est de laisser descendre pendant quelques minutes la soie pour pêcher plus creux, mais aussi car les poissons sont un peu épuisés de courir après des leurres, ramener à tous va.

Au niveau de l’animation, ce que je peux dire d’après mon expérience c’est que lorsque le poisson est décider à prendre votre mouche, stripper vite ou lent, il viendra taper dedans sans problème. Maintenant on peut donner quelques coup de scion pour accéléré d’un coup la mouche, mais attention les plus gros bars prennent trés souvent à l’arrêt. Il faut mieux à mon avis parcourir le plus possible de terrain que de lancer quatre fois au même endroit. L’avantage de pêcher en soie intermédiaire permet de bien percer le vent et de ne pas taper sur l’eau contrairement à une soie plongeante. Le bar est un poisson qui poursuis sans cesse sa nourriture et n’hésite pas à se déplacer pour aller sur son poste de chasse, mais comme tout poisson sauvage, il est très craintif aussi.

Pour que la mouche pêche, je rajoute souvent une pointe plongeante de 60 cm pour faire descendre sous un bon mètre mon imitation. Ainsi les poissons prennent plus en confiance la mouche, émotion garantie! 

 

Les soies plongeantes là on attaque un sujet ou je crois qu’on risque d’avoir de belle surprises au cours de cette année. En effet mon but est de descendre des peaux de lapins ou d’autres mouches dans des endroits plus profonds. Les balistes, daurades et les vieilles ne montent pour ainsi dire jamais en surface. Pour pêcher efficacement dans les algues ou les plages, il faut pratiquement pêcher à la verticale à quelques mètres de l’embarcation. Les soies les plus lourdes sont un atout pour faire face au courant, car en fonction du coef la soie intermédiaire et un bas de ligne plongeant ne suffit pas ! 

L’action peut sans doute arrêter plus d’un puriste de la pêche à la mouche mais aujourd’hui nous constatons une forte mobilisation pour une pêche un peu plus marginale.

Je ne vous parle pas de descendre un streamer à 10 mètres de profondeurs, mais s’équiper d’une soie plongeante pour animer une mouche sous trois mètres d’eau me semble plus qu’intéressant.

 

De plus en plus de personnes recherchent d’autre poisson.

 

Ici un petit lieu de quelques centimètres n’as pas hésité à venir taper dans mon streamer à la tombé de la nuit. C’est aussi ça la mer, on ne sait jamais sur quoi on va tomber.

 

    

Vouloir pêcher à la mouche en mer peut être sympa dans la mesure où l’on se donne les moyens de réussir.

 

En effet la plupart des gars que je connais, on essayer, mais tous on abandonner. Pas facile de consacrer une partie de ces vacances à lancer des plumeaux à tout va dans l’océan et il est beaucoup plus facile de prendre un bar au leurre!

Voila une des raisons pourquoi les pêcheurs échoues, on laisse vite fait la canne à mouche de côté pour prendre son lancer, ou l’on emmène les deux cannes au bord de l’eau, pour se donner bonne conscience mais au final on ne pêche qu’au leurre.  

Une des meilleures façons de prendre un bar à la mouche c’est justement d’arriver avec une 9 pied soie 7 au bord de l’eau et pas autre chose. 

L’échec peut être lassant à la longue,  mais il  est plus agréable de se dire que nous passons un super moment au bord de la mer et que le poisson sera au final, la cerise sur le gâteau.  

Il vaut mieux consacrer deux heures de pêche au lever et au coucher du soleil sur une semaine que de lancer ses streamers toute la journée pendant deux jours. En effet ce n’est pas forcement que nous pêchons mal, mais rechercher des poissons sur un poste, alors que celui-ci est vide, c’est franchement démoralisant et c’est une raison valable pour ne plus tenter sa chance.

Profiter de vos vacances pour discuter avec des locaux qui pratiquent d’autres techniques, pour savoir ce qui se fait en ce moment. Une discution est possible dans la mesure ou l’on ne prend pas les gens de haut. Faite de la photo, monter des mouches ou regarder une carte pour d’éventuelle sortie, sont des activités plus intéressantes à mon avis. Maintenant pour la pêche, il faut y croire……. Rajouter une part de chance, pas mal d’obstination, du temps et une bonne connaissance du coins, voila la recette qui vous permettra de réussir en mer, il y a pas de secret.

Les peaux de lapins sont aussi efficaces qu’un leurre moderne au niveau de la nage, en animant en twich ou en stop en go, j’ai étais surpris de l’animation.

Les mouches pour 2009

 

Type clouser en marabout 

 

Les imitations des petits poissons du rivage

 

Les postes au début cela peut sembler compliquer mais pour éviter de perdre confiance, il faut mieux pêcher en quadrillant sa zone de pêche ainsi on explorera un maximum de terrain. Inutile de vouloir pêcher a plus de 20 mètres, au bout d’une heure vous serez casser. Une distance au alentour de 15 mètres me semble raisonnable. De plus les poissons sont souvent en bordure cachés dans les algues à l’affut du moindre crabe, petit poisson ou crevette qui osent s’aventurer de trop prés.

Bon jusqu’ici vous me direz c’est facile il pêche en bateau…et bien non pour l’instant j’ai fait plus de poissons du bord! Pour la simple raison qu’a l’heure où je suis entrains d’écrire cet article les poissons ne sont pas encore là. Alors comment affirmer telle ou telle truc que j’ai décris plus haut. C’est simple chaque automne après la fermeture j’essaye de lancer quelques streamers dans le golfe avec plus ou moins de réussite. Mais cette année, je risque d’y passer beaucoup plus de temps, quitte à ne plus pêcher en rivière pour un an. Histoire de sortir un bilan positif de cette aventure. Cela fait bien rigoler mes potes de pêche.  

Un atout que possède un moucheur vous le savez, c’est l’observation dans lequel le pêcheur évolue.

Si en rivière les insectes sont des précieux indices, qu’en est ’il en mer. Je n’irais pas dire que c’est aussi simple qu’en eau douce, mais quelques crevettes qui sautent dans le varech doit mettre la puce à l’oreille. Un banc de poissons qui éclate en surface doit tout de suite attirer notre attention. Les oiseaux sont aussi de bon signe visuel, ainsi que les courants, le va et viens des bateaux sur les postes etc.

 

 

 

A cette heure, il reste énormément de chose à découvrir sur les façons d’approcher le milieu salin, seul des espèces comme le bar et la dorade royale font l’objet d’une pêche intensive pour ces goûts culinaires, mais n’oublions pas toutes les autres poissons.

Le mulet en est la preuve.

Un truc important c’est de bien maîtriser la double traction pour faire face au vent et lancer rapidement. A force on arrive à corriger quelques défauts. Surtout ne jamais se décourager, le mental est très important à la mouche toujours y croire.

 

Si une petite embarcation permet d’accéder à des postes éloignés et d’avoir une air de lancer dégager, il n’est pas si simple de bien pêcher. En effet les courants ainsi que les vents font dériver sans cesse.  

Plusieurs remèdes pour faire face à cette situation sont intéressants. L’approche comme en rivière est aussi importante, donc il faut anticiper et observer les trajectoires pour ne pas démarrer sans cesse le moteur.  Le deuxième truc est de s’ancrer dans les anses à l’abri ou prêts des parcs, ainsi on peut quadriller la zone tout autour du bateau. Une fois avoir exploité au mieux cet endroit a différente profondeur, on peut relever l’ancre et se laisser partir aider par le vent ou une pagaie.

Le gros avantage par rapport au gros bateau vous l’aurez compris c’est de pouvoir pêcher dans peu d’eau et d’approcher de prés les bordures. Le moteur relever vous permet de passer sous moins de 30 cm d’eau et évite de taper avec l’hélice dans une roche.

Autre avantage, pour déplacer une coque open de 5métres qui frise les 400 kilos avec un 50ch il faut un minimum de puissance, donc du bruit, alors qu’un 6ch tourne au ralentie et permet de se positionner au mieux.

Là ou un leurre va accrocher dans les algues systématiquement  une mouche monter avec anti herbe efficace sera redoutable. De plus une peau de lapin ou les minnows n’ont pas besoins de grosses animations pour nager.

Les hameçons très longtemps j’ai utilisé des tiemco 811s  pour leurs piquants, leurs solidités et la gueule de la mouche au final!  Aujourd’hui on m’a fait découvrir la marque Daiichi réf 2546 Salt water hooks.

Avec un peu de recul ces hameçons sont extra pour la France et sont beaucoup moins chers que la marque situé au dessus. 

Vous pouvez y aller les gars c’est du tout bon www.aspe-angler.com 

Je préfère écraser tout mes ardillons tranquillement avant de monter cela évite de le faire au bord de l’eau mais surtout et ne pas perdre sa pince au fond la mer!

Si par chez vous ou pendant les vacances vous êtes au bord de la mer essayer de pêcher très tôt le matin, il faut arriver de nuit sur les cailloux et pêcher les premières minutes avant le lever du soleil, vous le regretterez pas ! Avec un peu de chances les poissons vous offrirons un magnifique spectacle…..Les chasses. 

Pour faire face au coefficient important, vous avez beau acheter des soies très plongeantes, cela ne change pas grand-chose lorsque le courant est puissant. En effet si vous lancez dans la direction aval et décider de stripper votre mouche pour remonter le courant, la soie risque de flapper en surface et deviendra inefficace.

Une autre solution consiste à lancer amont et de laisser descendre la soie de façon quel passe sous le bateau. Ainsi la masse d’eau emmène le bas de ligne et la mouche plus en profondeur, lorsque le tout sera a 15 ou 20 mètres de vous vous pouvez plonger votre canne complètement dans l’eau et commencer à animer le streamer.

Ces observations sont faites dans le golfe et les estuaires, en mer ce phénomène est moins important. 

 

Revenons sur les postes, en fonction de la marré les poissons ne sont pas sur les mêmes postes. Lorsque ça monte la pêche se fait plus en bordure car la nourriture est poussée prés du rivage. Au contraire lorsque ça descend les bars sont concentrés sur les veines d’eau les plus puissantes. A ce moment il est inutile d’espérer aller les chercher à la mouche et il vaut mieux tenter sa chance sur les parcs à huîtres. En effet je n’ai pas bien compris pourquoi a certaine heure bien précise de la marré l’activité des poissons est au plus haut.

J’ai quelques réponses, mais qui ne me convienne pas! 

Ce qui reste plus sur c’est que lorsque le niveau est au plus bas, les vers, mollusques et petits crustacés se réfugies sous les pierres et s’enfonces dans le sable et la vase. Lorsque ça monte cette faune commence à s’agiter et mets en activité la plupart des poissons.

Un autre truc que je connais c’est le rassemblement des éperlans. 

Le golfe comme nous venons de le voire est puissant en fonctions des coef. C’est entre partie à cause de ses nombreuses îles que le courant est si violent. Cette petite mer d’intérieur recèle bien des secrets, je m’explique ! Pour bien pêcher, il faut connaître plus ou moins les mœurs des poissons que nous cherchons et tout le monde sait que le bar est un prédateur qui se nourrie de crabes crevettes et de différant espèces de poissons en fonction des régions. 

A quelques kilomètre d’ici sur Etel, il y a plus de lançon, en Normandie plus de mulet etc.

Donc si on trouve la nourriture, il y a fort à parier que les lieux orphies et bars ne sont pas loin.

 

Lors de mes nombreuses ballades, j’ai compris combien la nature est bien faite.  

En approchant de plus prés les rochers nous pouvons observer les bancs d’éperlans qui se mettent à l’ abri des gros remous, cela concentre une telle nourriture que les poissons quels que soit sont espèces ne peut rester insensible. Les cormorans d’ailleurs n’hésite pas non plus a se gaver.  

 Alors une fois les endroits trouvé il suffit de venir lancer ses mouches à différente heures de la journée

Voila la première partie de mon aventure.

A bientôt sur le golfe Fabien

 

18 commentaires.

  1. Salut à tous
    il arrive aussi de toucher du maquereaux, de l’alose du bord à la mouche et là aussi quel plaisir. Il faut pêcher là où il y a du poisson, à la profondeur où il nage, et lui présenter un streamer en rapport avec ce qu’il mange. Tout un programme. Pêchez simple, solide et efficacement. Le matériel n’est rien comparé à l’expérience et la « science de l’eau ». Allez à la pêche, prenez du plaisir.
    Tight lines
    Regis Fournigault

  2. salut fabien ! super ton articles , j’ai appris pas mal de chose et je pense que je vais pas tarder a aller faire faire trempette a mes streamers !!!!!!! 🙂
    a plus !

  3. une bonne analyse de la mouche en mer et de bons conseils. Le bateau est un plus pour accéder à des spots et acquérir le « sens de l’eau ». Ayant commencé la mouche en mer avant l’eau douce, je trouve que la palm rivière est beaucoup compliquée dans la technique mais plus facile dans la lecture des postes. Alors essayer la mer!

  4. C’est toujours un plaisir de te lire. Tes photos sont et retent une merveille.
    A un de ces jours au bord de l’eau

  5. Salut Polycarpe, ça fait plus de neuf ans que je l’utilise un peu partout et jamais eu de problème, démonter une fois, rincer a chaque sortie a l’eau douce. Lorsque tu change souvent de poste c’est un must pour la vitesse de récupération de la soie. Maintenant pour les fautes, elles fonts partie de ma vie et m’accompagne un peu partout, j’aurais mieux fait d’apprendre a l’école au lieu de lire la bible du catalogue motillon ….Content que ça t’es plus, ta dernière destination m’aurez bien plu pour lancer quelques mouches.
    A plus et merci de ton passage
    Salut richard, math, François .Belle brochette de moucheur tous ça les copains.
    J’espère qu’un jour on aura l’occasion de voire tout ça te prêt et de tordre un peu le carbone ensemble.
    A plus les copains.
    Salut Christophe, c’est plus facile d’écrire sur ta passion lorsque tu habite sur place.
    Pas facile non plus de boucler un article lorsque tu as une date bien précise, il faut du temps des conditions top pour la pêche, donc tout ça explique peut être pourquoi. En plus il faut que ça plaise aux lecteurs, tu as sans doute des relectures avant la publication.
    Enfin moi je voulais faire un truc différant, avec mon amour pour la pêche à la mouche.
    Rendre hommage a ma passion
    Je croise les doigts pour juillet ou août t’inquiète pour la location.
    A plus et merci à tous de vos commentaires
    Fabien

  6. Salut Fab,
    Il déchire ton article!
    En plus tu fais monter la sauce pour la suite 🙂
    Très belles photos notamment celle du lieu jaune dans dans la raquette. La vraie différence entre un article papier et le tiens c’est l’authenticité en plus du talent. Pas de théories à la mord moi le nÅ“ud. Juste du vrai, du sincère. Cela évite des déconvenues pour ceux qui lisent!
    Je fais le forcing pour venir te voir cet été 🙂
    Et à nous orphies , maquereaux, vieilles et autres saloperies à écaille!
    @++ l’ami

  7. Génial Fab, j’ai hâte de lire la suite et de voir de belles photos du golfe en été, des couchers de soleil sur l’estuaire, des poissons originaux et des gros labrax gueule béante 🙂
    Merci pour cet article, très riche !

  8. Salut Fabien,
    Une production comme celle-là fait honneur à ton blog déjà très riche.
    Je sais que tu prends plaisir à donner et à partager et te félicite de nouveau pour cette générosité rare.
    Merci et vivement le prochain, mais prends un peu de temps quand même pour aller à la pêche;)
    A bientôt
    math

  9. Si la générosité n’a pas de prix, ici tu dévoile ta grande richesse, BRAVO!

  10. Félicitations pour ce papier de très grande qualité : on y ressent tout d´abord une passion extraordinaire pour les eaux et la pêche. Ne cela ce papier nous fait « vibrer ».
    C´est également une mine de renseignements vraiment utiles pour qui envisage de taquiner la mer au fouet. tout ce que tu dis confirme ma toute petite expérience de la mer et des carnassiers, notamment l´efficacité des streamers par rapport aux leurres.
    J´apercois un moulinet Peux, es-tu satisfait de ce moulinet ?
    Et puis je vais me permettre une petite remarque désobligeante: tu devrais faire corriger l´orthographe de cet article qui mériterait vraiment d´être impeccable.

  11. Salut Vincent, Xavier et Serge. Ah notre Bretagne on n’a pas finie dans parler, merci pour vos commentaires les copains.
    Salut Lionel et Stéphane, deux pêcheurs qu’un jour je voudrais bien connaître ici ou ailleurs qu’importe pour partager un bon moment de la vie.
    A plus les gars et merci de votre fidèle passage
    Salut braindead, je n’ai volontairement pas cité le becm pour des raisons personnelles. Maintenant jacques et Bernard et les autres membres du club on eux aussi apporter ces vrais leurs savoir faire. En espérant que tu prennes plaisir lors de ton passage.
    A plus
    Salut idoo si un jour tu décide de venir dans le coin, on se verra une petite sortie….
    A bientôt fabien.
    Salut Paco, tu es certainement pour beaucoup à ses images. D’ailleurs le livre que tu m’a conseillé est vraiment sympa et sans ça je n’aurais pas su faire certaine retouche comme la dernière. Alors merci à toi
    Bonne journée a vous les gars et n’hésiter pas à apporter votre grains de sel ….lol celle là elle est facile.
    A plus les copains.
    Fabien

  12. que dire de plus !!!!
    GEANT je regarderai avec beaucoup d’attention la suite, pour l’émotion et ces paysages.

  13. Hello Fabien
    tu vas pouvoir écrire un livre(s) sur la palm en mer
    Voilà un article digne de grand magazines de pêche
    Bravo à toi !!!
    et de bien belle photos
    a bientôt dans notre belle Bretagne
    Mouchement votre Xavier

  14. salut fabien
    trés interressant cet article!
    il me tarde de voir tes résultats avec le bateau.
    mon beau pere a exactement le meme que toi et nous avions cette année, le projet de tester l’embarcation vers chez nous.
    je te tiendrai au courant de ce que ça donne.
    a trés bientot sur tes terres.
    lionel

  15. Mon cher Fabien,
    Tu m’as un peu parlé de ton article hier et je comprends maintenant pourquoi tu as mis du temps à le préparer.
    C’est une mine d’information formidable qui permettra à beaucoup d’entre nous d’y voir plus clair et de débuter en mer avec de réelles chances.

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