Terre de légende .

Je vous emmène cette fois ci , un peu plus près de l’eau sur un secteur que je garderai secret . Loin des routes et de toute activité humaine , j’aime venir ici pour rencontrer des poissons encore plus sauvages ! C’est un peu mon paradis à moi en quelque sorte , quatre ou cinq heures de pêche à la mouche dans cette contrée et me voila le plus heureux des hommes . Il faudra marcher pas loin d’une demi heure pour apercevoir les premiers virages , traversé quelques prés à vaches , ramper sous les clôtures électriques et au passage prendre une petit bourre histoire de se réveiller . les champs d’orties seront un indices précieux , pour savoir si oui ou non un pêcheur est venu troubler la quiétude des eaux ces derniers jours . J’aime mes campagnes qui me rappelle des souvenirs de gosse et venir à la rencontre de ces bovins est souvent sympathique . La vrai vie en quelques sorte est ici , loin des villes ! Je n’arriverai jamais a savoir pourquoi j’ai tant besoin de vivre cette passion .  

La rivière coule au fond d’une vallée tranquillement  , tantôt les eaux s’accélèrent , puis la rivière se calme dans les grands virages du bas pour finir comme la plupart d’entre elle , vers un moulin . La robe des truites est encore plus belle qu’ailleurs . La végétation est honnis présente , à chaque lancer le risque est bien réel de voir son imitation finir dans une branche d’aubépine ou d’un saule . Il n’est pas toujours facile d’approcher la rivière , les ronces et autres arbustes ralentissent l’accès , ce qui est bon dans un sens , car cela fait des réserves naturelles contre la prédation humaine . Les jonquilles , boudons d’or et autres petites fleurs sauvages ne font qu’embellir les paysages , le miel qui sortira de ces ruches aura un goût inoubliable , j’en suis sur .  Une rivière pour moi doit être le plus naturelle possible . Je viens ici deux ou trois fois par an , pas plus car j’aime découvrir de nouveaux endroits et lorsqu’on sait ou les truites se postent , il y a quelque part moins de surprise ! Nous avons la chance d’avoir beaucoup de ruisseaux et rivières en gestion piscicole sans introduction de poissons , ici on fait confiance à la nature . A ce jour je ne connais même pas 1/3 des cours d’eau Bretons et il me faudra encore des années avant d’en faire le tour . La prospection doit être lente , chaque pas soulèvera un nuage de sédiment . Les arbres qui sont tombés cet hiver dans l’eau montrent quelques part que cette rivière est un petit peu oubliée . De temps en temps je vire les branches qui bloquent le courant et les quelques bouteilles en plastiques . D’ailleurs il faudrait que je vienne plus souvent , pour ramasser les ordures que les crues déposent sur les berges , mais c’est pas toujours possible de pêcher , faire de la photo et consacrer son temps à l’écologie . A l’aide d’un petit canif , je coupe quelques branches qui me gênent pour une futur pêche . En Bretagne , il n’y a pas de parcours mouche , il faut s’adapter , modifier en permanence ces lancers , c’est ainsi qu’il faudra effectuer des petits roulés ,  sortir trois mètres de soie dans les plus grands virages ou au contraire lancer en revers , ce sont à mon sens une des meilleurs école que j’ai fréquenter pour apprendre ! D’ailleurs a ce sujet un ami , qui apportait les fameuses cannes sage , un jour m’a donner un petit gadget que je garde soigneusement dans mon gilet . C’est une sorte de petit crochet voire photo , relier a une cordelette que l’on suspend au bout de son scion , pour aller chercher la branche qui retiens notre mouche . De cette manière , vous récupérez une grande partie de vos imitations .  Merci jean pierre . 

Côté matériel , j’ai investis ces derniers jours dans un sac photo tlz1 avec harnais que nico-p parlais sur son blog . Au niveau confort et sécurité de l’appareil , il à raison a cent pour cent , pour quelques euros vous bénéficier d’une protection vraiment adapter à notre passion .  Ainsi c’est beaucoup plus facile de sortir son appareil photo . J’ai définitivement abandonner le trépied pour son poids , pour le remplacer par un monopole très léger , en plus j’ai rajouté une crosse d’épaule qui permet de gagner en stabilité , donc de descendre en vitesse pour gagner de la lumière dans des endroits souvent sombres . Attention quand même de ne pas descendre en dessous 1/30 de secondes , sinon votre image sera flou , car le poisson même si il est dans l’eau à souvent tendance à bouger . Le flash de votre reflex peut dans certaine situations vous rendre des services , aller dans le menu , puis dans la fonction flash intègre , puis régler la correction expo flash -2 tiers pour ne pas surexposer la photo . Ainsi vous apportez un petit plus et immortaliser le détail qui peut faire la différence . D’ailleurs a ce sujet si l’approche du poisson et une des clefs pour réussir une partie de  pêche , une photo réussi est celle qu’on ce souviendra dans le temps . Avant de faire votre image , regarder autour de vous , une pierre , une branche peut vous aidez a donner de la vie , une renoncule peut renforcer le contraste , touts ces éléments ne feront qu’embellir nos photos . Chercher le petit rayon de soleil qui vous ferra gagner en ouverture . Notre passion se vie dans la nature , profiter en . Je tiens à remercier chacun d’entre vous qui apporte leurs conseils à travers leur blog et sur le forum , pour le confort de notre passion et la qualité des images . 

Revenons au bord de l’eau , nul besoins de posséder des mouches sophistiquées , il faudra quelques sedges à différentes stade de leurs évolutions sur hameçon de 14 et bien sur des mouches de mai  . En effet la pêche devient alors un véritable plaisir  , chaque fois que vous déposez votre mouche dans la bonne veine d’eau , c’est à dire entre deux renoncules ou près d’une touffe végétale un poisson viendra gober votre imitation , le pied . Il faudra anticiper les touches pour être près au moindre éclair qui viendra taper dans votre sedge . Un ferrage doux , évitera à la moindre truitelle ou tacon de voler dans les aires , mais surtout de ne pas casser . Faites glisser les petits poissons sur les côtés pour ne pas effrayer les plus belles , ainsi vous continuerez à pécher le même poste . Si la rivière semble calme , n’avancer plus , prenez votre temps , profiter de ce moment pour vivre votre passion , Respirer cette air pur c’est notre oxygène , alors une belle truite viendra troubler ce silence en prenant devant vous un insecte , ou chasser les mouches de mai a plusieurs reprises car celle si aura réussi a lui échapper . Vous devinerez ces micro gobages qui ralentissent nos gestes lorsque les truites prennent les emergentes .  Attraper les mouches de mai pour peaufiner vos montages . Je suis toujours surpris  mais en bretagne , il faut rarement pêcher fin , tout d’abord comme nous venons de le voire ensemble , les arbres et fougères sont bien présent tout autour  de nous , les poissons ne sont pas si difficile à faire monter si vous ne faites pas de bruit , à noter qu’une petite goutte de dégraissant sur votre pointe peut rendre bien des services . Vu la configuration des eaux , une truite n’as pas assez d’espace suffisant pour se défendre et comme par hasard elle est souvent dans des endroits encombrés , donc le seul espoir pour elle est de démarrer le plus vite possible , pour rejoindre son trou ou alors se diriger vers la moindre racine , pour libérer le fer qui la gène . Un 12 centième ne suffira pas , un bon 14 centièmes est envisageable en période d’été . Pour moi je pêche très souvent en 15 ou 16 centièmes , cela peut paraître gros , mais j’ai trop souvent perdu de gros poissons ou casser car il y avait un petit noeud sur le bas de ligne en plus ,  la pointe deviens de plus en plus fragile à chaque rencontre avec un obstacle ,  c’est complètement idiot et on s’éloigne du côté respect du poisson . Je pense même cet année passer au 17 centièmes sur des poissons que j’ai repérer dans des trous . Les fortes pluies qui ce situes entre l’hiver et le début du printemps gonflent les rivières , donc les truites sont constamment en mouvement et en parfaite condition ce qui augmente la qualité de la pêche . Après avoir trompé votre partenaire , vous pourrez voire de super chandelle , des poissons qui descendent à toute vitesse le courant , en venant taper dans vos wadders , entendre le fil qui siffle , lorsque la traction commence a se faire sentir un peu plus que la normal , plier votre canne quand une truite dépasse les 30 cm . Un spectacle inoubliable pour les amoureux de la nature que nous sommes .

Si dans mon texte , il est si facile de prendre une truite , la réalitée en est autre chose . Chaque poissons que vous relâcherez sera la récompense d’un long apprentissage avec vous même . Les pêcheurs trop pressés ne feront que passé , les accrocs de la double traction , ne feront que s’accrocher , seul les passionnés les vrais , arrivons a touchés une partie de ce rêve . En ce moment je commence à observer les mouches de mai , les truites sont a l’affût du moindre insecte qui viens pondre sur l’eau et deviennent complètement folles . Elles oublient leurs méfiances , la période pour toucher les plus beaux poissons se situe vers la fin mai . Les différents stades de l’insecte attirons sans problèmes les poissons , méfiez vous quand même des micro gobages ou des grosses gamelles , les belles sont de sorties . Si ces moments sont si réels , c’est que quelques part j’ai besoins de vivre ces images . Après avoir immortaliser cette rencontre , il est temps de relâcher le poisson , alors d’un geste délicat vous déposerez votre truite a l’abri d’un courant , avant un dernier regard , celle ci repartira tout naturellement dans son élément . Je ne sais pas quel moment je préfère , faire monter un poisson , tromper sa méfiance , le photographier ou simplement le rendre a son milieu . Ce qui est sur , c’est que s’est ma vie . En résumer le mois de mai touche à sa fin , il y aura eu beaucoup de pluie avec un niveau d’eau souvent très haut , ce qui aura rendu la pêche souvent difficile . Le début juin semble plus que prometteur vu les observations de ces derniers jours . Les premiers coup du soir on commencer . Ces remarques sont constatés dans ma région , loin de tout , ici la pêche ne ressemble a rien , en tout cas a aucune que j’ai pratiquer sur les différentes rivières de France .  

La journée se termine , le soleil se cache derrière la vallée , laissant la part de son rêve a chacun d’entre nous .

A bientôt Fabien .

Cent pour cent de ces poissons sont repartis en parfaite conditions dans les rivières . Aujourdhui le meilleur de ces souvenirs sont mes photos . Fabien .

 

17 commentaires.

  1. je comprends les sensations que tu as quand tu es au bord de tes rivières BRETONNES moi c’est pareil j’adore pecher la truite mais c’est au vairon je garde une dizaine de truites à l’année et tout le reste repartent dans leurs milieu ou elles se sentent le mieu je suis né en BRETAGNE et j’habite à 65kms de paris à l’OUEST pour etre au plus pres de nos racines et je vais 2 fois par mois à la peche en NORMANDIE du coté de LISIEUX je prends beaucoup de poissons que je rejette et quand je descends en BRETAGNE sur mes terre de mes ancetre je fait des kms pour pecher et pour etre au bord de la rivieres et pour admirer les paysages et entendre l’eau couler mais il y a une chose que les pecheurs devrait apprendre ces de relacher le poissons et qu’ils augmentent la taille car fréquement je rencontre des pecheur qui prélève des truites de la tailles d’une sardines je ne comprends pas leurs mentalitées il faudrait leurs inculquer le respect de la nature car elle nous apportent énormément tes photos sont magnifique tes paysages aussi j’ai cru reconnaitre le petit moulin avec la porte bleu moi je n’ai pas de rivières attitrer car le matin je prends ma voiture et en route quand je descends chez maman en BRETAGNE j’habite à JOSSELIN et je part à SCAER finistère nord sud cotes d’armor je vagabonde aux bord de notre magnifique BRETAGNE ALORS BONNE PECHE ET BONNE SAISON 2009

  2. que dire de plus, mise à part une fois de plus merci, merci et merci.
    Pour narrer ta passion et pour expliquer ce qu’est la bretagne, tu as de réelles compétences. Ca me dit qu’il me reste plein de belles choses à apprendre et à voir.
    Continue de promouvoir notre région et notre passion commune.
    KENAVO

  3. Salut Fab :o))
    Un vrai régal à lire et à regarder, superbe récit et des photos au top.
    Merci 😉
    Je me retrouve un peu quand tu parles de cette rivière sauvage au fond de nulle part, c’est plus qu’apaisant et hyper ressourçant….ça fait un bien terrible.
    Pour le Tlz1, je pense que je vais me lancer car je trouve ce petit sac vraiment bien, merci d’avoir développer le sujet.
    @+++

  4. Salut Fabien,
    Prend toi un verni bois assez foncé . C’est Nico-P qui m’a fait prendre conscience de l’importance de l’épuisette. D’ailleurs j’avais commandé chez Devaux la même épuisette pour nous deux.
    Pour ce qui est de la muletor : elle va faire son petit bonhomme de chemin ;).

  5. Salut christophe , tu as vraiment l’oeil et soucieux du détail . J’aime tes critiques qui sont très bonnes à chaque fois . Je vais essayer prochainement de peindre mon épuisette .
    A bientôt fabien .
    Ps la muleor a encore frapper !

  6. Salut Fabien,
    J’ aime beaucoup ton reportage 🙂
    Le monopode est tres utile pour les photos de paysage ou d’action mais il faut avoir avoir conscience qu’il est utile en macro que si il est ultra court dans sa taille de départ.
    Recouvre ton flash intégré avec une balle de ping-pong ou autre pour faire diffuseur.
    L’épuisette est un bon élément dans une photo car elle apporte un cadre dans le cadre . Ce qui renforce ton sujet pour la composition. Par contre dans tes photos ce cadre de par sa couleur très claire enlève de la présence à ton sujet qu’est la truite.
    @+

  7. Salut csfly , merci pour ton message .
    Salut richard , mais si tu le connais le coins , tu y a pêcher une partie de l’après midi . En fin de soirée on a refait le monde assis dans le coffre de nos voitures avec gérard . Pour le moulinet j’ai essayer un peu tout , mais je reviens à des choses simples . La différence peut être c’est que mon terrain de jeu sont les rivières , donc c’est plus facile de prendre confiance avec son matos . Quatre vingt quinze pour cent des truites que tu vois sur les photos sont pêcher a moins de six mètres , donc je n’ai pas beaucoup de soie dehors vu que tu comptes dedans le bas de ligne . En plus si jamais je décroche un poisson cela ne me gène pas plus que ça , car je suis souvent au bord des rivières . Bonnes journée .
    Nico-p , pour le petit crochet je sais pas ou mon ami a trouver cela , il la ramener de chez un fournisseur au usa . Voici ce qu’il y a écrit sur la pochette , vu que je ne parle pas un mot anglais . Fly back brainwaves , inc./517E.87 ST.N.Y.?NY.10128
    Pour l’epuisette je voulais simplement rajouter ce que tu as signaler aussi il y a 15 jours , franchement c’est la base pour les gens qui se disent respecter le poisson , car avant de réussir une photo dans ces conditions la truite sentira la flotte et ferra tout pour retourner a l’eau . Je pense même pour aller plus loin qu’on devrait prohiber ce genre de photo pour obliger les gens quelques part à prendre conscience que le nokill c’est bien , mais il faut le faire dans les meilleurs conditions possible pour le fish , mais bon c’est photos ne sont pas la majorité .
    Bonne journée a toi .
    Bye fabien .

  8. Bien d’accord sur l’épuisette, ca ne coute pas grand chose et ca permet à la fois d’abréger les combats, de manipuler les poissons sans les abimer et de les prendre en photo sans les asphyxier, et en plus c’est plutôt joli.
    Les poissons étendus sur l’herbe ou qui se débattent sur les galets s’en sortent probablement moins bien que ceux qui patientent dans un petit filet, de l’eau dans les ouies, qu’on leur tire le portrait pendant quelques secondes. A mon avis c’est un accessoire presque indispensable pour le pêcheur en nokill qui souhaite immortaliser se prises.

  9. Je reconnais où c’est!
    Non je plaisante…
    Bien que je n’ai aucun doute sur tes capacitées d’excellence, j’espere tout de même en mon fort interieur et pour mon égo, que ces photos sont l’objet de plusieurs parties de pêche!
    Si y a bien un truc qui met mes nerfs à rude épreuve, c’est lorsque la truite une fois piqué te fille entre les pattes! Tu te retrouve alors avec du mou dans la ligne, et pire, tu t’empatouille dans ta soie! Pour minimiser tout ce bord.. j’ai opté pour un Vivarelli, comment fais tu avec ton mouliner manuel?!
    Avec toute mes félicitations. Richard

  10. Encore un magnifique invitation au voyage auquelle tu nous invite fabien , les photos sont un regal ….bravo

  11. Ce petit reportage c’est quelques part grâce a gobages et a vous qui pendant trois ans m’ont permis d’améliorer mes photos . Chaque région de France peut faire le même article avec differentes especes de poissons , il suffit quelques part d’en avoir envie et d’avoir surtout du temps .
    Merci pat pour tes encouragements .
    Pour la crosse , ça permet de bloquer le boitier contre son corps lorsqu’on passe en mode live view , ainsi on arrive à faire une mise au point trés prècise , on trouve cet article chez manfrotto .
    Salut nico-p , tu vais partie de ces personnes avec christophe qui nous montres l’exemple de ce qu’on peut faire au bord de l’eau avec un appareil photo . Pour le sac il est vraiment top . En faite j’avais déjà mon 17/40 avant d’acheter mon 40d . Je retiens l’objectif dans un coins de ma tête pour un futur achat , merci de tes conseils .
    Je veux juste rajouter ceci , un poisson doit être photographier dans l’eau pour qu’il respire , une épuisette ne faut que quelques euros par rapport au prix de notre matos , voila c’est tout , mais en ce moment on voie un peu trop de gros poisson sur les cailloux . J’espère que le message passera .
    A bientôt fabien .

  12. Content de voir que tu as adopté le système du tlz1 + harnais. Bien pratique, n’est ce pas!
    Il faudra que j’essaie le petit crochet pour se décrocher. Tu trouves ca ou ?
    Les photos sont superbes, et ces truites ont des robes vraiment fantastiques, le reflet de ces petits cours d’eau bretons.
    D’un strict point de vue pratique je pense que tu pourrais éventuellement zapper le monopode si tu utilisais un objectif stabilisé, surtout si tu restes aux alentours d’1/30s en vitesse, avec des focales relativement courtes. En prenant 3 photos en rafale tu en as à coup sur une parfaitement nette à ces vitesses/focales.
    Avec le 40D je pense que j’aurais plutot pris le 17-55 2.8 stabilisé que le 17-40, à moins que tu n’aies investi en pensant au futur et à un éventuel achat d’un reflex 24*36 dans un avenir proche.
    Le monopode resterait quand meme utile pour la macro, ou la stabilisation de l’objectif ne résoud pas tout les soucis.

  13. quel talent …….
    on sent bien le plaisir qui transpire dans tes photos …et accessoirement la parfaite maitrise de la photo.
    bravo

  14. magifique (le sujet et les photos)
    en parlant photo : c est quoi ta crosse ??
    merci
    dom

  15. Salut Fabien
    Eh bien j’avais hâte de voir cet article ! Et je l’ai dévoré…
    Quel talent as-tu pour faire partager ta passion !
    Tes photos sont un régal. Je me répète, mais tu me donne encore plus hâte de venir m’installer en Bretagne. J’avais un peu peur de bouger par rapport à la palm, mais entre truites, bars et mulets, en passant par les brochets, les chevesnes et les aloses, c’est quand même pas mal… Seul regret, les ombres me manqueront certainement…
    A bientôt ;o)) et bravo encore pour ton sympathique blog et tes jolies photos !

  16. Je ne peux pas m’empêcher de penser qu’un craqueur de nuques qui lit ça ne puisse pas être un peu bousculé et ne réflechisse pas un tout petit peu… Peut être suis je optimiste mais tes photos servent remarquablement tes propos.
    c’est vraiment une ôde à la vie, et les images des truites sont superbes…

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