Derrière l’objectif se cache une passion .

La photo est présente au quotidien sans que l’on s’en rend compte, elle entre dans notre vie dès la naissance et nous suit sur les bancs de l’école. De la simple publicité en passant par les magazines, elle est un atout pour vendre, mais pour d’autres, elle est autre chose. On la retrouve au sein de nos familles, sur les blogs pour laisser une trace de notre existence. Souvent entreposée dans les placards, au mieux, dans des albums, la photo attend paisiblement qu’un curieux ose lui  jeter un regard. Quelques fois, on la retrouve dans un grenier au fond d’une malle, pour se rappeler l’existence de nos ancêtres, des souvenirs de la vie à un moment bien précis. La photo à passer les époques sans se démoder, elle a toujours attiré une foule autour d’elle, sans cesse en améliorant ses techniques. Fini la pellicule, aujourd’hui une carte quel que soit son format, est capable de stocker beaucoup d’informations. Arrivent alors les logiciels de retouche, d’un simple clic on découpe, on améliore les couleurs, les contrastes, la netteté et bien plus encore. La photo envahit nos ordinateurs et voyage tous les jours par le net, son développement d’ailleurs n’est plus vraiment le même. Mais avant d’en arriver là, il faut pouvoir déchiffrer son langage et comprendre le mécanisme du boîtier pour pénétrer à l’intérieur du diagramme et de son ouverture. La mesure de la cellule devient alors intéressante, lorsque la lumière devient compliquée. En augmentant les iso, on arrive à  main levée à photographier les endroits les plus sombres. La composition vient alors troubler les plus sages, et nous remet en question. Un chemin bien compliqué, où il n’est pas facile de s’y retrouver si l’on commence seul. Mais par miracle la technique rend les choses plus faciles. 

Il faut choisir la bonne vitesse pour le bon sujet, plusieurs expositions sont possibles mais certaines photos sont plus créatives que d’autres. 

Certain passe en mode manuel, et se lance dans la création qu’il souhaite réaliser, il choisit une ouverture définie, appuie sur le bouton. Parfois c’est une catastrophe, surtout au début mais je vous pousse à continuer dans cette voie. Ce que vous voyez derrière l’appareil photo n’est pas nécessairement ce que vous obtiendrez , pour cela il faut imaginer la photo que vous voulez obtenir et connaître un minimum les possibilités de l’ouverture. Alors il comprenne mieux leurs erreurs, modifie d’une ou deux valeurs pour se rapprocher ou s’éloigner du repère d’exposition en fonction de la lumière , monte en iso pour gagner en vitesse et recommence, petit à petit, récolte le fruit de leur travail pour arriver à un résultat. D’autres ne franchiront jamais ce pas, mais peut- on parler alors de photo, qu’importe du moment que chacun trouve le plaisir à immortaliser l’instant présent. 

Que ce soit en paysage, en portrait, en macrophotographie, chacun de nous a plaisir de faire partager ses images à travers sa région. Il n’y a pas un jour qui  passe ou l’on voie sur gobages de magnifiques photos, de superbes reportages. Merci à vous d’échanger cette passion.

Les plus belles lumières sont sans doute le lever et le coucher du soleil en raison des couleurs chaudes, saturées, ce sont des moments idéaux pour photographier les contres jours, mais peut-on oublier tout ce que l’on observe au bord de l’eau quelque que soit la lumière,  non je ne pense pas car nous aimons la pêche à la mouche et l’émotion qui s’en dégage. Elle est bien plus proche de la photo qu’on puisse l’imaginer, aussi raffinée l’une que l’autre je ne sais pas laquelle envahit l’autre. J’ouvre une parenthèse pour toutes les femmes que j’ai rencontrées grâce à ma mère  pour leurs passions communes comme la peinture, la broderie, l’encadrement, le dessin, ou la restauration de tableau. Elles ont su cultiver, développer, améliorer sans cesse tout au long de leur vie, leur technique. L’art ne s’explique pas, on le ressent, le perçoit chacun à notre façon avec une vision différente.  Ce qui est sûr, c’est que j’ai besoin de vivre ces moments de tranquillité et de créativité à travers ces deux passions à chaque fois que la possibilité me le permet.  Comme bien des choses dans la vie, cet article est la récompense d’un travail et de nombreuses notes pris dans les bouquins.

Enfin, je remercie ma femme et mes enfants pour leurs encouragements et le temps libre qu’ils m’accordent pour jouir de ces occasions.

Je reste humble dans ce domaine, car il existe un monde entre le photographe et moi, mais l’océan qui nous sépare me donne l’envie d’aller toujours plus loin.

Fabien.     

 

Voici quelques photos en argentique que j’ai retrouvé. C’est moi, lorsque je retrouvais mon oncle au lever du jour, en vélo à l’étang communal. Je ne pensais pas du tout à l’école, des moments de pur bonheur à chaque fois qu’il venait le dimanche. Lorsque je ne faisais pas de bruit, mon oncle me laisser ramener un poisson. Des souvenirs énormes pour un gamin.  

  

Il y a une quinzaine d’année, j’achète mon tout premier reflex argentique avec l’idée de rapporter des photos de pêche et son milieu. Le côté journaliste me plaît et parler de sa passion à travers des articles m’a toujours fasciné. C’est sans doute l’émission histoire naturel et la revue la pêche et les poissons qui m’ont donner l’envie de continuer un peu plus loin dans cette voie mais le résultat n’était pas à la hauteur de mes espérances, aucune règle de cadrage, de très faible profondeur de champ et surtout j’étais pris au piège des programmes résultats, vous savez la montagne, la fleur, le portrait. L’appareil faisait ce qu’il voulait et non ce que j’espérais. Je n’avais aucune connaissance pour réaliser de belle photo.  

Mon oncle a commencé la pêche à la mouche il y a moins de vingt ans. Cinq ans après, je suis ses traces dans l’apprentissage et parfois il me laisse sa browning 9 pieds soie de 5 et son moulinet mitchell pour lancer dans le jardin. Après quelques mois de galère je commence à déposer mon bas de ligne avec son petit bout de laine à quelque pas de moi. Puis je découvre quelques années plus tard la pêche au streamer. Je deviens très vite accrocs, car le côté visuel de la mouche me plaît énormément alors arrive les premiers chevesnes. C’est sans doute les plus beaux poissons, car j’en rêver une bonne partie de mes nuits. Il n’y avait pas trop de rivière à truites part chez moi, donc je traînais souvent mes bottes au bord des rivières de deuxième catégories.  

 Puis viens le temps de passer mon permis et je découvre de nouveaux horizons. Je rencontre des pêcheurs qui n’hésitent  pas à m’emmener dans de bons coins pour pêcher le bar. Il y a dix ans, les français commencent tout juste à parler des possibilités d’explorer l’océan, en Bretagne c’est surtout Frank Ripault qui a su guider le pêcheur Bretons a travers ses imitations de petites mouches bleues époxy. Mai 98 sur l’aber benoît avec le club des pêcheurs de landernau.  

 

J’ai eu la chance de visiter l’élevage de coq du limousin d’Olier Dez. Un homme qui veille sur l’entreprise Guy Plas, discuter de pêche et de plume avec lui et un vrai régal. Je garde de bon souvenir de cette journée. 

 

 

 Ce qui me plaît dans la pêche à la mouche c’est les rencontres entre la nature et l’homme, comme cette libellule pris sur la Dourbie.  

 

Les salons de pêches sont de bons endroits pour photographier des cannes hors budgets, c’était pour moi un moyen d’approcher ces stands et surtout de discuter de pêche avec des gens beaucoup plus expérimentés que moi sur certaine rivières. Je n’y vais plus aujourd’hui car on ne retrouve plus la même convivialité qu’au début, moins de monteurs de mouches qui font le voyage pour venir à paris, moins de petit stand de passionnes et c’est devenu aussi un bizness énorme en leurres.  

 

 Des artisans réalisaient de super bambou avec un grand talent.  

D’autres artistes montent de magnifiques streamers. Je découvre alors un monde extraordinaire en termes de montages, en fibres que ça soit du côté français ou hollandais.  

 

 Lorsqu’on est jeune et que la plupart de notre argent part dans le matériel de pêche il n’est pas facile de faire un choix. Heureusement les copains ont souvent été  là, pour m’emmener sur les rivières, un bon moyen d’apprendre comment  il faut pêcher l’ombre et la truite. La plupart de ces pêcheurs sont devenus  des amis, aujourd’hui, même si la distance nous sépare, on  toujours le plaisir de s’appeler pour des futurs projets. 

 Parfois on réalise de belles photos sans un pète de technique et on ne sait pas, ni comment ni  pourquoi !  La lumière fait partie d’une de ces réponses,  les  truites aussi.  

 

 Que ça soit  pour une canne, un moulinet ou un vêtement, le matos m’a toujours attiré au gré de mon porte  monnaie. Sans vraiment d’argent en poche, j’ai souvent rien mangé le midi pour économiser quelques sous et beaucoup travailler. Le faite de passer mon temps au bord de l’eau m’a souvent protégé d’éventuelles erreurs de jeunesse.

 Voici mon oncle, sur une rivière Bretonne je lui dois beaucoup car il a su me guider vers cette pêche. Je voulais qu’il est sa place ici, même si la qualité de la photo n’est pas terrible. Aujourd’hui on ne voit pas la pêche de la même manière, mais il compte beaucoup pour moi. Je souhaite à qui conque avoir un membre de sa famille comme lui. Si tu lis ces lignes, bisous tonton. Sacré pêcheur !   

Aujourd’hui je continue dans le même état d’esprit en mélangeant la photographie et la pêche à la mouche. Il n’est pas toujours facile de comprendre les textes dans les livres, mais c’est un bon moyen d’approfondir ces connaissances. Souvent le noir et blanc  est plus évocateur  et spectaculaire qu’une prise de vue en couleurs. J’ai évolué en fonction de mon temps libre, dans mes deux passions au fil des années. La critique n’est pas toujours agréable mais elle permet d’avancer !  

 

Le faite de jouer avec l’ouverture du diaphragme permet d’avoir une profondeur de champ plus ou moins importante sur un détail. Il existe une corrélation directe entre la vitesse de l’obturateur et l’ouverture du diaphragme. L’ouverture  de l’obturateur détermine la durée d’exposition du capteur à la lumière. Moins il y a de lumière sur le sujet , plus le mécanisme reste ouvert et plus c’est difficile de ne pas bouger. En macro le trépied reste un atout pour ces raisons si le sujet est immobile mais aussi pour rechercher une vision intéressante . Il est alors possible de sous-exposer ou surexposer en fonction de la lumière naturelle, le réglage du flash devient alors intéressant.   

    

La faible profondeur de champs renforce ici le nœud et l’orientation de la cordelette nous guide vers une direction. Ces derniers jours j’ai dû mal à me passer du monochrome. Attention de ne pas surexposer une partie de la photo dans un coins , avant d’appuyer sur le bouton , vérifier la totalité de l’image.  

Le regard ainsi que l’œil est un bon moyen en photo de capter notre attention. L’éclairage en photo rapproché est important pour dégager les zones d’ombres et obtenir ainsi un peu plus de profondeur de champs très réduite en macro. En lumière indirect, c’est à dire en renvoyant l’éclair du flash  sur une partie réfléchissante on obtient une source lumineuse plus intéressante. Il existe trois couleurs, le blanc, l’argent et le doré. Le réflecteur blanc, un bidon de lessive couper en deux distribue une lumière avec une totalité neutre, plus douce que les réflecteurs métallique. L’argent, feuille de papier alu sur une pochette créé des zones d’ombres et sa lumière est plus directive et plus franche. Le Doré, peinture asiatique d’un ami me permet d’avoir des couleurs plus chaudes, les nuances jaune-or sont plus prononcées. La combinaison des deux derniers couleurs est possible. En reculant plus ou moins ce réflecteur et en orientant la tête du flash, on obtient des résultats surprenants.  Il est possible aussi de régler plus ou moins la valeur de l’éclair du flash pour ne pas trop surexposer le sujet en fonction de la mesure que vous avez effectué. 

    

 Une petite pose bien mérité entre deux photos, je vous invite à en faire autant.

  

   Les objectifs macro ne sont pas toujours nécessaires, cependant ils offrent de nouvelles possibilités créatives. Les moulinets ainsi que les cannes sont de beaux objets et certains détails peuvent être mis en valeurs. La télécommande ou le retardateur permet d’éviter les vibrations lorsqu’on appuie sur le bouton sur des poses supérieur à 1/10 de secondes. Penser à changer l’orientation de l’angle du flash pour obtenir un éclairage frontal ou latéral.  

 Les mains sont importantes dans un travail manuel, bien d’autres parties du corps se prêtent à la réalisation de compositions intéressantes. Voici l’ouverture que j’utilise le plus lors de mes photos f 2.8  f 3.2  f 3.5 f11 f16 f22. Voici trois moyens d’augmenter la profondeur de champs, plus la focale est courte, plus on s’éloigne du sujet, plus on augmente le nombre f.  

Je m’intéresse de près c’est derniers jours aux éléments graphiques. Les règles sont faites pour être transgressées mais, avant de tenter des cadrages originaux, il est bon de respecter quelques règles. La règle des tiers, circulation dans une image, les perspectives, les courbes, les lignes verticales ou horizontales, les triangles, le mouvement, pour obtenir de compositions intéressantes. La photo a un sens de lecture, chaque objet a une importance et l’oeil découvre petit à petit l’image.     

Neuf heures du matin , le premier rayon de soleil  apparaît derrière ma vitre , une idée me traverse l’esprit devant une tasse de café.

 

 J’essaye d’expliquer à mes enfants, pourquoi il faut préserver la planète, leurs avenirs est entre leurs mains.  Le rétro-éclairage aboutit à des effets remarquables, il isole et met en valeur certain élément de la composition. Ce qui n’est pas toujours le cas avec une lumière qui viens du dessus ou du côté. Il est alors possible d’exploiter la lumière du flash en changeant ses valeurs de + ou – 1/2 a 1 cran, penser avant à  enregistrer la longueur de votre focale pour un meilleur résultat.   

 

Lorsqu’on réalise une photo , le flou peut parfois donner des idées , ouverture f2.8 mise au point manuel sur la poignée, sous expositions -2/3. L’image est parfois plus intéressante qu’avec une petite ouverture et laisse une part de mystère au lecteur.   

   Je vous parlais au début,  d’une comparaison entre la pêche à la mouche et la photo possible. En effet lorsqu’on approche un poisson, on recherche l’angle le mieux adapté pour eviter le moindre dragage de la nymphe,  notre vision est concentrer sur le moindre mouvement. En photo c’est pareil, on recherche le moindre détail qui peut être mis en valeur, pensez à ce que je viens de vous dire. Alors vous ne regarderez plus les objets de la même manière, un monde nouveau vient de s’ouvrir devant vous, profiter –en !  Sur cette photo un contraste intéressant oppose la légèreté de la plume au poids de la nymphe en tungstène. 

Une de mes folies, je suis tombé amoureux il y a quelques années de ces cannes. Depuis c’est une merveilleuse histoire entre elles est moi . A part une, en raison de sa puissance je les utilise toutes. 

 

Je finirais sans doute comme cette homme, à raconter des histoires de pêche les plus incroyables, à regarder la vie derrière un objectif. La pêche à la mouche a était le seul remède efficace contre la maladie, elle lui a permis de se lever chaque matin pour profiter un maximum de la vie avant de le ronger. Belle image de notre passion, Repose en paix. 

    La nuit tombe, je fais ma mesure sur la partie la plus éclairée  pour sous exposer la mouche de trois valeurs, je choisie une ouverture à f3.2 pour limiter ma profondeur de champs et accentuer le sujet, la mise au point et fait sur le début de l’aile. Trois secondes après, une ombre apparaît derrière le boîtier. J’aperçois une image qui évoque un temps ou il y avait beaucoup plus de saumon sur les grandes rivières Bretonne. Il est temps pour moi de vous laissez, en espérant que vous avez passé un bon moment. 

 

Ces derniers jours j’ai lue de très bons livres, qui vont sans doute me donner une autre vision de la photo et améliorer le sens de lecture, mais pour cela il faudra attendre que je puisse sortir de chez moi. En attendant je vous souhaites à tous, une agréable journée. 

 A bientôt fabien.  

24 commentaires.

  1. je boirai bien une bolée de cidre avec une galette de sarazin fourrée avec quelques coquillages et de la creme fraiche avant de taber les bars à la montante.

  2. Bonsoir Fabien,
    Je suis émerveillé par ton
    récit et la qualité de tes photos.Je sais aussi
    que tu es un tres bon pêcheur
    à la mouche en mer.Continu
    a nous faire vivre ta passion.
    Hervé

  3. Merci à delatuca, math, sussu et idoo pour vos messages. Je commence à pouvoir sortir dehors pour mon plus grands plaisir, le boîtier chauffe .
    A bientôt fabien .

  4. vraiment superbe
    merci Fabien.
    il y a une véritable âme .
    ce qui rend notre vie plus belle.
    merci @ toi

  5. Ça se sent qu’un évènement de grande importance est arrivé dans ta vie et qu’il t’a fait réfléchir.
    Toutes mes félicitations pour cette deuxième naissance. 😉

  6. Salut Fabien,
    Ce qui est incroyable avec toi, c’est que tu arrives toujours à me surprendre. La passion qui t’anime est telle que personne ne peut rester insensible à ton récit. Tu arrives à mettre des mots sur tes sentiments ce qui n’est pas donné à tout le monde.
    Tu fais partie de ces rencontres qu’on ne peut oublier. Continue à nous faire partager tes expériences.
    A bientôt,
    Mathieu

  7. Pour rebondir sur ce que tu dis fabien …je crois qu’a travers ces blogs sur gobages , la richesse photographique est immense , preuve de gens passionnés ou à chaque page , l’invitation au voyage est constante.Une passion simple dont ton dernier article rend un hommage merité

  8. Bonjour Fabien,
    j’ai beau chercher, je ne trouve rien à dire, tout à été dit; c’est tout simplement magnifique, digne des meilleures revues.
    A+ Pouic

  9. Salut Fab,
    Là tu assure graves 🙂
    En plus j’ai trouvé très intéressent ton histoire de la pêche à la mouche et celle de la photo.
    @+ l’ami

  10. un grand bravo!!!
    voilà un bien beau texte et des photos!!! arf trop belles
    le breton fait toujours de belle chose;)
    au plaisir
    mouchement toi
    Mac-xav

  11. Je n’ai pas l’habitude de laisser une appréciation sur les blogs, mais là, c’est comme une évidence. Un seul mot:
    SUBLIME

  12. c clair j’adore ce genre d’article c’est tellement plus plaisant de lire des trucs qui sortent du coeur .
    Merci

  13. Bonjour à tous . Pour commencer , je voudrais remercier chacun d’entre vous d’avoir laissé un message agréable. Il y a beaucoup de talent sur le site , certain d’entre vous dégage une émotion énorme en écriture , en photo et pour les autres je reste persuader qu’ils sont de très bon pêcheur .
    Merci et a bientôt .
    Fabien .

  14. D’accord avec vous tous ! Fabien c’est magnifique, vraiment !
    Bravo pour cet excellent article .

  15. dur d’écrire vrai sur sa passion, en évitant les clichés, les phrases pompeuses et les comparaisons gnian gnian…
    Tu évites tous ces écueils pour nous livrer un pur moment de poésie.
    Tu es de ceux qui savent mettre des mots sur des émotions, de ceux dont on se dit « mais oui c’est ça que je ressens !! »
    C’est rare
    A+

  16. salut fabien
    c’est magnifique, autant les photos que le texte.
    j’ai lu ton article d’un trait, j’etais subjugué.
    bravo.

  17. slt
    je viens de passer un agreable moment de douceur en lisant tes lignes et admirant tes photos. J’ai encore tant a decouvrir dans ces 2 domaines : la palm et la photo….. c’est pour ca que ce sont mes passions….
    vince

  18. Salut Fab ;o))
    Vraiment énorme, très très beau récit et belles images très recherchées…quelle compo!!!!
    BRAVO!!!!!y a du talent ;o))
    @++++

  19. Comment dire …je suis fan de tes recits , de tes photos ….la passion est là , juste cacher derriere un rien , un tout …j’aime simplement

  20. J’ai passe plus qu’un bon moment.
    Je suis emu par le texte et les cliches.
    Merci pour ce doux moment d’evasion.
    merci , merci et encore merci

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